5 personnalité·es des pouvoirs publics étaient présent·es pour échanger autour de cette question avec notre Fondatrice et Directrice générale, Tara Heuzé-Sarmini :
Ces échanges ont permis de mettre en évidence les vécus et ressentis de chacun·e face aux sujets de la précarité menstruelle et du tabou des règles.
Par exemple, Léa Filoche, qui travaille dans un monde politique très masculin, essaie de faire en sorte que le sujet ne soit pas un tabou ou une source de honte autour d’elle. Tout comme Isabelle Boudard, qui nous a partagé le fait qu’elle aborde le sujet des règles avec ses deux fils car il est important de faire comprendre aux garçons qu’ils sont concernés eux aussi.
Lorsque nous avons demandé à nos intervenant·es de résumer en un mot comment lutter contre la précarité menstruelle, Jacques Pelissier nous a répondu “simple”. En effet, c’est à la portée de tou·tes de pouvoir donner des protections périodiques dans l’un de nos points de collectes partout en France, mais aussi d’organiser une collecte de protections périodiques pour aider les femmes en situation de précarité. Comme l’a bien précisé Soraya Ouferoukh, “mobilisation” et “solidarité” sont les maîtres mots pour lutter contre la précarité.
Si vous aussi vous souhaitez vous engager face à la précarité menstruelle, rendez vous sur les pages “collecter” et “donner” de notre site internet. À l’occasion du 8 mars (et jusqu’au 20 mars), vous pouvez vous rendre dans l’une des 5 boutiques parisiennes Tara Jarmon à Paris pour déposer vos dons de protections périodiques dans l’une de nos boîtes à dons dans le cadre d’une opération de collecte que nous co-organisons avec la Fabrique de la Solidarité.
Merci à tou·tes nos intervenant·es d’avoir participé à cet échange. Ensemble, on peut changer les règles !